quete du biencephale (keldorm et arvalin)

L’elf de glace venait de quitter la ville , enfin de l’air frai et de la nature. Puis elle trouvait que les gens de la ville était …,comme dire….,prétentieux , malhonnêtes et plus faible. Ils se croyaient supérieur aux autres parce qu’ils vivent dans une ville faite de pierres .
Enfin, bref. Elle rejoignit le lieu ou elle devait retrouvait son ami. Une petite rivière , un peu éloigne du chemin. Elle s’enfonça donc dans la foret et elle eut soudain envie de courir. C’était pas pour échapper a un ennemi ou pour poursuivre un homme , elle avait envie , c’était tout.
Elle arriva essoufflé a la rivière , la longea pour se retrouve face a un bassin naturel. La elle vit un ours assit prés d’un buisson. Elle sut que Keldorm était déjà arrivait. Comme elle approchait et qu’il ne se montrait pas , elle décida de prendre un bain.
Elle s’approcha de l’eau , enleva le peu de vêtement qu’elle avait et marcha sur les cailloux pour entrer dans l’eau. Elle commença a jouer avec l’eau , danser et surtout se mettre sur le dos laissant ses seins flotter a la surface de l’eau.
Elle attendait que ce rustre face quelque chose , tant qu’il ne fera rien , elle continuerait a s’amuser et a le provoquer.

"Et voila" pensa t'il en arrachant le dernier bout de peau qui pendait du renard, "De quoi manger pour se soir".
Il décrocha la corde tenant l'animal dépecé, essuya les trace de sang sur son visage puis partie vers le lac la viande sanguinolente calé sur le dos.
Le lac, il devait y attendre le retour de l'elfe qu'il avait rencontré quelque semaine plus tôt. Une personne assez bizarre d'ailleurs cette elfe. Il avaient croisé sont chemin alors qu'il suivait, intrigué, un groupe de pisteur essayant, sans beaucoup de succès selon son avis, d'être discret en traversant la forêt.
Elle lui était tombé dessus du haut d'un arbre en criant "Hommmeeee!!!", du moins c'est tout ce qu'il a entendu. Après une séquence de lutte assez brève interrompu par le saut de l'ours sur l'elfe, celle ci pris le temps d'expliquer que ces pisteurs traquaient un monstre et que ,quitte a lui trancher la tête, autant que ce soit pour de l'argent. Cela impliquai de retourné en ville et d'attendre qu'une récompense soit placé dessus. Allez en ville était impensable pour lui "Pas envie de voir des gens" lui avait-il précisé. Il avait donc convenu qu'elle irai chercher ce qu'il fallait pendant qu'il attendrai prêt du lac.
Cela fessait déjà plusieurs jour qu'il attendait sans nouvelle. Il n'avait pas franchement confiance en elle mais s'étant dit que sa ne coutait rien d'attendre il s'était installé un camp prêt du lac que gardaient Runir en se moment.

Après quelque minute de marche il arriva au lac, et vit l'elfe nu fessant trempette dans l'eau. Il la regarda quelque instant d'un air dépité : "Elle pourrait au moins rendre sont temps utile" pensa t'il.Voyant qu'elle l'avais vu il lui fit signe puis marcha vers son campement et commença a faire un feu pour faire cuire la viande qu'il ramenai. De toute façon il était déjà tard et il savait qu'il devrai passé la nuit ici.
"Quand elle aura fini d's'amuser, elle pourra m'aider a éviscérer c'te bestiaux, qu'elle croive pas qu'elle va bouffer a l'oeil".

Au grand dame d'Arvalin, Keldorn ne lui adressa qu'un vague signe de la main pour l'inciter à venir vers son campement. Elle fut bien forcée donc de s'y rendre, pour préparer le repas du soir que Keldorn venait de chasser.

Les deux compagnons étaient à leur besogne dans le campement, quand tout à coup l'elfe dressa l'oreille. Elle venait d'entendre quelque chose. Quelque chose d'humain. Des bruits de pas.

-Quelqu'un approche.

Keldorn et Arvalin se relevèrent donc rapidement, la main à leur arme au cas où la forme de vie qui approchait serait doté de mauvaises intentions. Les pas de rapprochaient, précipités, désarticulés, la personne a qui appartenaient ces pieds ne devait pas être en très bon état. L'ours de Keldorn se mit à grogner. Les buissons bougèrent, et un homme en sortit. Il était petit, maigre, ses vêtements étaient lacérés en plusieurs endroits et il arborait une excroissance près de son épaule. Son visage était en sueur, mêlée à du sang qui s'échappait de ses blessures. Il haletait, et réussit à articuler quand même quelques mots :

- Le monstre... une attaque!

Il tomba à genoux près du feu que les compagnons avait allumé.

-Je vous en prie... De l'eau... aidez-nous...

“pff, il tombe a pic celui la. J’en ai marre de toucher des organes génitaux aussi petits. » Pensait l’Elf en regardant le pauvre petit animal qui allait être leur repas.

"J’espère que celui la en a des plus gros. » se dit elle en regardant l’homme qui avait perturbé la préparation de leur succulent diner.

Elle prit une tasse, la remplit d’eau, s’approcha calmement de l’homme a demi mort, se mit a genoux et en soulevant la tète de l’homme dit, dune voie charmante :
« tenez, buvez. »

Elle se demandait, vu les blessures qu’il avait, si il ne fessait pas parti du groupe de chasseur qui poursuivait le monstre.

« Peut être que je ferait mieux de lui donner de l’eau en le noyant dans la rivière. Humm, il nous servira peut être plus tard. en attendant vu les blessures qu’il a , il ne doit pas être bien dangereux. »

Discrètement, elle demanda à Keldorm de fabriquer une corde avec les boyaux qu’ils s’étaient amusés à sortir des bêtes.

En voyant que l'homme était déjà dans un état proche de la mort et ne représentait aucune menace, il décida que lui trancher la tête ne les mènerai a rien. La vie de l'homme ne lui importait que peu mais cette excroissance attisai sa curiosité, ajouté a sa curieuse envie d'eau :

"Entrain de crever c'pas franchement la première chose a laquelle je penserai" se disait-il a voix basse.

Pendant qu'il réfléchissais Arvalin s'était déjà occupé de la demande de l'inconnu et lui glissa discrètement de l'attacher avec les boyau de l'animal mort.

"Ouai, pas bête" grogna t'il en guise de réponse.
C'est ainsi qu'il s'affaira a fabriqué une corde avec les tripes.

Pendant ce temps l'ours s'éloigna du campement, pas besoin d'en recevoir l'ordre il savait ce qu'il devait faire, Keldorn le lui avait fait comprendre : voir si les alentours était sûr. C'est ainsi qu'il se mis a marcher furtivement dans la direction d'où était venu l'homme en prenant garde de rester à portée de voix de son compagnon.

Styx, car c'était son nom, absorba le liquide avec ferveur, bien qu'un peu surpris, et il semblait reprendre peu à peu son souffle. Son visage était toujours en sueur, car les blessures qu'il avait reçu le faisaient terriblement souffrir, mais il arrivait quand même à former des phrases à peu près complètes. Il put informer alors les deux compagnons de la situation.

-Il y a eu une attaque... Au nord... Le petit hameau de Brünt. Un monstre énorme avec deux têtes... Les maisons sont en feu, et des morts partout. Aidez-nous à éteindre l'incendie!

A ce moment là, Keldorn et Arvalin purent enfin comprendre le sens de sa demande... Il avait couru jusqu'au point d'eau le plus proche pour tenter d'éteindre les flammes. Une entreprise bien désespérée, vu son état.

- Le village est à une vingtaine de mètres... J'ai vu la lumière du feu de camp. Je vous en prie, sauvez mon village! Je vous guiderai...

Styx ne put pas finir sa phrase, car un formidable accès de douleur s'empara de son corps entier. Il se replia sur lui même, pour lâcher un cri étouffé et rauque, posant les mains sur ses multiples blessures, y compris sur sa "bosse". Après cette crise, le bossu releva le visage vers les deux compagnons. Il était blême, avec les yeux légèrement injectés de sang. Mais il leur adressa un sourire et ces mots :

-Ne vous en faites pas... J'ai combattu le monstre... Il m'a salement amoché...

« que faire ? » songeait Arvalin «Keldorm ne semble pas avoir confiance en lui et puis comment veut-il qu’on apporte suffisamment d’eau sans seau pour sauver son village ? Quelle était se village ?et était ce le monstre qu’ils cherchaient ? »

Trop de question mais pas réponse et elles ne seraient pas pour toute suite.
L’elfe pansa succinctement les blessures de l’homme a terre avec ce qui lui tombait sous la main . Et en se relevant , elle parla haut et fort a son ami:

« allons voir ce qui se passe !et essayait de sauver ce qui peut l’être. »

Puis elle regarda le blessé et ajouta :

« vous . restez ici ! vous ne nous serait d’aucune aide comme ça de toute manière. Indiquez nous simplement dans quel direction se trouve le village. »

La jeune ne savait pas encore ce qu’elle voulait faire exactement . Sauver ce village qui devait être , maintenant un champ de cendre et de cadavre, ou tuer les survivant qu’il restait prendre leur or, tuer la bête et aller dans un autre village en meilleur état avec des hommes en forme.
Elle prit ses armes , se rhabilla un peu et partit vers le village ….heu….enfin lorsque l’homme lui aurait indiquait la bonne direction.

Keldorn était en plein réflexion intérieur sur le phénomène mystique qu'il l'avait empêcher de voir ce village situé a une vingtaine de mètre de la où il campai depuis une semaine puis se dit que réfléchir ne servirai de toute façon a rien il penserai plus tard, l'heure était a l'action.
Sa compagne lui indiqua après avoir parlez a l'homme qu'ils devaient allez faire un tour au village. Il présentait qu'elle devait avoir une idée dernière la tête, quand a lui son seul objectif était de trouver ce monstre.
Il attrapa la corde/boyau pour attacher l'homme une fois qu'il leur aurait donnez les information nécessaire, "n'avoir confiance en personne." marmonna t'il. "Et puis de toute façon s'il est trop faible pour survivre il n'a qu'a crever ici."

"Même pas eux le temps de manger"

Arvalin prête regarda Keldorm d’attachait l’homme. C’est peut être pas une bonne idée si il est blesse mais bon (comme ca on pourra piller sa maison).

Puis elle continua a avancer dans la direction que l’homme lui avait indique. Mais elle ne savait toujours pas ce qu’elle voulait faire et de toute manière, impulsif comme elle est , elle changerait surement d’avis si elle prévoyait un plan d’avance.

« Bon , on y va ! je vois que tu aime bien ta super corde mais on va pas passer toute la journée a admirer tes œuvres d’art. » Déclara-t-elle a son ami.

Puis elle lui tourna le dos et parti pour le village ,enfin.

En pansant ses blessures, Arvalin découvrit dans le bas du dos de l'homme une sorte de pointe noire enfoncée très profondément dans la colonne vertébrale. Elle ne pourrait pas l'enlever à mains nues, elle ne préféra donc pas toucher. Elle ordonna alors à Styx de leur indiquer la direction.

-Poursuivez vers le Nord, droit devant vous, à travers les bois... Quand vous verrez le sol calciné et des arbres brûlés, vous serez arrivés.

Styx leva des yeux tristes vers les deux compagnons.

-Mon village... On pensait pourtant que personne ne nous attaquerait dans un coin si reculé. Voyez-vous, nous avions construit de pauvres cabanes dans les arbres, et vivions en ermites. Nous étions des bannis, des exilés des villes alentours. Mais ce monstre nous a attaqué...

Voyant le regard impassible et indifférent que lui jetait Keldorn et Arvalin, et baissa la tête, désespéré.

-Si vous n'avez pas confiance en moi, ayez au moins pitié et allez constater les dégâts par vous même....

Keldorn, qui avait sa corde de boyaux à la main, s'approcha du bossu pour lui nouer les membres et l'attacher à un arbre. Mais alors qu'il s'apprêtait à s'atteler à la besogne, Styx fut pris encore une fois de convulsions, mais d'une douleur largement supérieure à celles antérieures. Tout son corps tremblait, et le pauvre homme criait d'agonie.
*Ca sent pas bon...* pensa Keldorn.
L'elfe qui regardait le bossu eut d'un coup l'impression que son excroissance avait encore grandit, et qu'elle atteignait maintenant la taille de la tête de l'homme. Elle parcouru des yeux le corps de l'humain, et se demanda s'il restait encore quelque chose d'humain. Sa cage thoracique avait gonflé d'un coup, ses côtes avaient en effet grandi de plusieurs dizaines de centimètres. Ses jambes avaient atteint une taille démesurée, ses pieds et ses mains étaient à présent munies de griffes acérées et d'écailles, ainsi que sa peau qui formait une sorte d'armure difficile à percer. Ses vêtements s'étaient déchirés, et laissaient apparaître une deuxième tête horriblement laide à la place de l'excroissance inconnue. Autour de la pointe noire, la peau était verdâtre, les vaisseaux semblaient éclatés. L'homme venait de se transformer en monstre à deux têtes.



Styx, humain mutant

Attaque : 15
Défense : 120
Animisme : 0
Vitesse : 10
Charisme : 15

Arvalin, elfe assassin

Attaque : 25
Défense : 25
Vitesse : 35
Animisme : 40
Charisme : 25

Keldorn, humain dompteur

Attaque : 35
Défense : 30
Animisme : 20
Vitesse : 25
Charisme : 10

Son instinct s'éveilla, et celui ci lui disait que la créature n'était pas la pour prendre le thé.

L'instant était crucial, il fallait réagir vite et bien. Une de ces action où tout pouvait se jouer, où un choix s'imposait,et la fuite était une des ces options fortement envisageable. Mais un rapide examen de la situation lui remis les idées en place, le faite de combattre en groupe changeait la donne. Il lui semblait que l'elfe avait une certaine science du combat, et il percevait Runir tout proche, lui transmettant un sentiment de tension pousser a l'extrême. La conclusion en fut simple : laisser parler l'acier et ajouter cette chose a son tableau de chasse.
Le silence s'installa en lui pour laisser place a la concentration du guerrier puis Keldorn se jeta dans la mêlée plaçant toute sa force dans son prochain coup de hache en espérant que l'ennemi ne réagisse pas avant lui...

Action 1 :frappe normal 35 point de dégât
Action 2 :frappe normal 35 point de dégât

L’ennemi été lent et moche.

« Pff c’est pas possible .je peux jamais trouver des gars beau quand je suis en promenade .Faut vite qu’on se débarrassé de ce ….truc et qu’on retourne en ville.» pense l’elfe avant d’attaquer.

Elle eut le temps de frapper plusieurs fois avant de faire un pas en arrière afin d’éviter une attaque ennemi.

Action 1 : frappe normale 25 de dégâts
Action 2 : frappe normale 25 de dégâts
Action 3 : frappe normale 25 de dégâts

Styx, ou du moins ce qu'il restait de cet humain maintenant transformé en une créature mutante, eut à peine le temps de s'approcher des deux voyageurs qu'une pluie coups tranchants s'abattirent sur lui. Les lames de Keldorn et Arvalin lui entaillèrent profondément sa poitrine et ses membres, si bien que ces coups furent mortels pour le mutant. Il s'effondra brutalement sur le sol, si bien que le dernier coup que l'elfe tenta de lui porter ne fendit que l'air. La créature était de toute façon agonisante, et un coup de plus ou de moins n'aurait pas changé grand chose à la situation.
Le sang s'échappait en abondance des multiples plaies sur le corps du monstre. Un sang très foncé, presque noir, qui semblait infecté. La deuxième tête inhumaine du mutant regardait ses deux bourreaux avec un regard vitreux empli d'effroi. La tête initiale de Styx, seule chose qui restait d'humain en lui, les observait d'une manière plus douce... Mais une dernière convulsion d'agonie violente fit cracher du sang a la créature, et elle rendit son dernier soupir.

FIN DU COMBAT

Styx, humain mutant

Attaque : 15
Défense : 0
Animisme : 0
Vitesse : 10
Charisme : 15

Arvalin, elfe assassin

Attaque : 25
Défense : 25
Vitesse : 35
Animisme : 40
Charisme : 25

Keldorn, humain dompteur

Attaque : 35
Défense : 30
Animisme : 20
Vitesse : 25
Charisme : 10

Arvalin et Keldorn se trouvaient maintenant devant le cadavre de feu Styx, transformé pour des raisons qui échappaient aux deux voyageurs en une créature à deux têtes. Vers le Nord ils devraient trouver les ruines du village qui pourraient les mettre sur la piste du biencéphale, et la cargaison volée.