Prenom : Keldorn
Nom : Flyst
Race : Humain
Classe : Dompteur
Age : 31 ans
Taille : 1m 73
Poids : 84 kg
Description : Keldorn affiche un aspect propre a un homme vivant en foret. Ses longues années loin de la civilisation l'on transformé : son visage est le plus souvent caché par une longue barbe qu'il rase parfois assez grossièrement, de long cheveux brun foncé noué en arrière pour les besoin de la chasse. Ajouté a cela sont air antipathique et inexpressif contrastant avec son regard tantôt dans le vague, tantôt sombrant dans la folie et la sauvagerie, l'ensemble impose le respect ou la crainte au rare Homme qu'il croise.
Pour finir, de large cicatrice lui parcours le corps, résultant de ses combat
avec des animaux sauvage.
Il est toujours accompagné par son ours Runir avec lequel il partage un lien
d'empathie.
Caractère : indépendant, taciturne, antipathique et peu chaleureux, tendance
schizophrène, possède une double personnalité psychotique refaisant surface dans
certain moment de trouble. Respecte toujours une promesse faite et fidèle a ses
propres valeurs morales.
Armes : Arc taille dans un morceau de leafstren, un bois rare découvert lors de
ses errances en foret.
Une hache a deux main pris sur le cadavre d'un aventurier un peu trop curieux sur son mode de vie, elle semble possédé certain caractéristique magique mais il n'a jamais trouvé lesquelles.
Quelque couteau de lancés et une dague utilisé principalement pour les tache de la vie quotidienne.
Equipement : Ses habits se composent essentiellement de cuir et de fourure, travaillé par ses soins.
Alignement : neutre, tendance a l'anomie, déteste toute forme d'autorité que
l'on veut lui imposé.
Statistique :Attaque : 35
Défense : 30
Animisme : 20
Vitesse : 25
Charisme : 10
TechniqueHurlement :Sa vie au contact des ours a amène Keldorn a pouvoir poussé le même grognement
bestial. Celui ci a pour effet d'insinuer la peur et le doute dans l'esprit de
ses adversaires. Cette technique doit obligatoirement être suivi d'un charge sur
quelqu'un si Keldorn n'est pas déjà engagé dans un combat.
effet : L'ennemi perd une action s'il voulais attaqué Keldorn, de plus sa prochaine
attaque aura un malus de 10 d'attaque.
Cout : 20 animisme
Transe bestial :Rien n'est plus dangereux qu'un animal blessé : lorsque lui ou son compagnon est en danger, la personnalité animal de Keldorn ressurgi, le plongeant dans un état de pur instinct.
Ses action ne sont plus gouverné par une logique humaine, le seul mots d'ordre régissant son comportement est sa survie et celle de Runir.
Effet :Se déclenche si Keldorn passent la barre des 10 de point de vie
+10 attaque + 10 vitesse,
Cout : nécessite 5point d'animisme minimum perte de tout les point d'animisme.
Discrétion :Les années de vie en milieu naturel, plus particulièrement en foret,
de Keldorn lui on appris l'art de la chasse et de la discrétion.
Cette expertise lui permet de se fondre dans le décors.
Effet : Keldorn disparait, fessant perdre une action a son adversaire si il était engagé dans un corps a corps. De plus sa prochaine attaque surprend et possède un bonus de 10 d'attaque.
Cout : 15 animisme
Attaque synchrone :Keldorn et Runir utilisent le lien qui les unis pour lancé une attaque parfaitement synchronisé sur un adversaire. Celui ci éprouve ainsi une plus grande difficulté a se défendre contre les attaques du duo qui ont ainsi plus de chance d'être mortel.
Effet : L'attaque du duo inflige 20 dommage supplémentaire.
Cout : 15 animisme
HistoireAu commencement, une femme, une geôle, un gardien, un viol, 9 mois.
Une vie pour une vie, c'est en suivant ce principe que celle de l'enfant
commencé lorsque celle de la mère s'éteignit.
Nourri au lait par une femme ronger par la folie, l'enfant ne lui servais
que de substitue de son propre enfant mort. C'est ainsi que lui fut accorder l'identité d'un mort : Keldorn.
La survie, a peine conscient, le nourrisson s'accrochait déjà a la vie
s'opposant a toute les forces inconnu voulant sa mort.
Extirpé de sa cellules grâce au gardien, Plus dans le désir d'une main
d'œuvre gratuite que par instinct paternel, il ne lui fut accorder
aucune pitié.
C'est ainsi que vint son 10eme anniversaire, dans son univers sombre, régit
par la violence carcéral, son esprit ne se forgea aucune personnalité,
toujours gouverné par son seul désir : survivre. Comme un mots d'ordre
sans logique, sans réflexion, il vivait.
Du feu, des cris, une révolte, une porte, c'est ainsi que son univers changea.
Une porte, un choix : d'un coté un monde inconnu, nouveau et dangereux
De l'autre son père, un univers familiers, le feu, la mort. Il choisit.
Une foret, une cachette, des brigands , voila comment il passa les 5 années
suivante. Il appris ainsi a manier les armes, il appris ainsi a tuer, le loi
du plus fort paraissait t'il. Et il était plutôt bon a ce jeu la, la coquille
vide qu'il était apprenait vite, n'ayant connu que le pire de l'espèce humaine
la violence, la folie, la soumissions, il ne fessait preuve d'aucun sentiment,
machinal dans sa pensé de survie.
Tout cela s'arrêta par une rencontre, tout commença par une autre.
Une patrouille, une dizaine d'homme, un ours, un combat.
L'admiration, un sentiment nouveau, comme un déclic dans la tête du jeune homme
L'admiration pour cette créature majestueuse dans son combat désespéré, dans sa fureur.
Une fascination, un nom mis bien plus tard sur ce qu'il le poussa pour la première
fois a oublier son mot d'ordre. Un désir de l'aider le pris au tripe.
Un mouvement attira son attention sur l'être oublier du combat, caché dans un buisson,
un ourson. Sans réfléchir, il le pris dans ses bras et couru, couru de toute ses forces, les épaules lacéré par les griffures de l'ourson récalcitrant, il couru jusqu'à s'écrouler. Puis plus rien. Le noir, sa conscience s'éteignit.
5 ans, c'est une durée qu'il ne calcula que plus tard. 5 ans écoulé avant que sa conscience ne s'éveilla a nouveau. A ses cotés, un ours de bonne taille, un échange de regard. La confiance, l'amitié, la tendresse, voila ce que lui inspira ce regard.
De nouveau sentiment remplissant la coquille vide qu'il était autrefois.
Il avait changer,il le sentait, il ne se souvenais plus pourquoi mais il avait changé.
Partir en chasse, c'était pour lui comme un mécanisme, des gestes instinctifs.
Tout cela pour survivre, "pour qu'on survive, se dit-il, voila ce qui a changé".